16 novembre 2007
Imagine ta vie demain
Je ne veux pas mettre que des extraits tristes ! Je parlerai de l'accueil offert dans des bras ouverts, de la respiration qu'on entend oreille contre poitrine et dont on ne se lasse pas, de la chaleur d'une cuisse, d'envelopper des fesses d'un bassin, hanches plaquées.
Mais je tombe sur cette si belle chanson de Reggiani, dont voici quelques lignes, où j'imagine l'amant désolé, il y a eu un éclair amoureux, mais lui est resté en deçà, et elle est entrée, elle a été accrochée. Et lui, maintenant, l'aime bien, il est touché par elle (mais je projette) :
"Allons bon voilà ton sourire
Qui tourne à l'eau et qui chavire
Je ne veux pas que tu sois triste"
Serge Reggiani, "Il
suffirait de presque rien"
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